Voici une consécration longuement attendu et tellement méritée qu'on se demande pourquoi il a fallu toutes ces années pour enfin décerner le Grand Prix du Festival d'Angoulême à Katsuhiro Ôtomo, pour l'ensemble de son oeuvre, mais surtout pour la série Akira.
Il est clair que sans lui et sans les efforts clairvoyants de Glénat qui a pris des risques colossaux pour importer en France la série, jamais les mangas n'auraient connu en France un tel développement.
Je vous renvoie à l'excellente page sur ce sujet dans Le Monde (ici), très bien documentée.
Et moi je vais relire Dômu (rêves d'enfants) de Ôtomo, dont je ferai une fiche un de ces jours, et qui est un de mes mangas cultes.